Commerçants : l'assurance des personnes

Au-delà du simple exercice de son activité, le commerçant devrait souscrire une ou plusieurs formules d’assurance dans le but de se protéger lui et les membres de sa famille. Coup de projecteur sur ces précautions souvent bienvenues.

Le commerçant, son conjoint ou l’un des membres de sa famille peut tomber malade ou être victime d’un accident. Quid alors du rôle des assurances ?

Au-delà du régime obligatoire d’assurance maladie, le commerçant peut décider de se doter d’une garantie complémentaire maladie ou accident, soit par voie de contrat individuel d’assurance maladie ou accident, soit en adhérant à une assurance collective souscrite par une association de commerçants.

Face au risque de décès qui peut le concerner au premier chef mais aussi frapper son conjoint, le commerçant est libre de souscrire une assurance vie en cas de décès.

En pratique, l’on propose souvent la souscription d’une assurance décès pour garantir le versement d’une somme d’argent, sous la forme d’une rente ou d’un capital, aux bénéficiaires désignés au contrat, c’est-à-dire en général le conjoint du souscripteur ou ses enfants.

Si le commerçant craint que la retraite versée par le régime obligatoire ne soit pas assez fournie pour ses vieux jours, il peut choisir parmi les nombreuses offres d’assurance vie qui servent à se constituer une épargne qui sera versée sous forme de rente ou capital au moment de la retraite.

Source : FFSA.fr