Economie Sociale et Solidaire : les entrepreneurs ont le moral
SOCIÉTÉ Votre devis gratuitComme son nom l’indique, le Baromètre du Moral des Entrepreneurs de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) s’intéresse au moral des entrepreneurs sociaux. Cette nouvelle édition laisse apparaître un moral au beau fixe même si ces entrepreneurs se disent préoccupés par le financement de leur activité. Coup de projecteur.
Le portrait-robot de l’entrepreneur de l’ESS
Dans le cadre de la 2e saison de La Fabrique Aviva, opération qui doit permettre aux projets entrepreneuriaux à la fois utiles et innovants de bénéficier d’une enveloppe d’un million d’euros, l’assureur Aviva s’est intéressé au profil, au moral ainsi qu’aux attentes des entrepreneurs sociaux implantés dans l’Hexagone. D’où, cette nouvelle édition du Baromètre du Moral des Entrepreneurs de l’Economie Sociale et Solidaire sollicitée par Aviva et La Ruche, communauté apprenante comptant plus de 400 entrepreneurs et innovateurs de l’économie positive nationale.
Cette nouvelle étude aide à dresser le portrait-robot de l’entrepreneur de l’économie sociale et solidaire en France : il s’agit d’un homme (64 %), âgé de moins de 50 ans (76 %) et vivant en région (60 %).
Plus de la moitié des entrepreneurs sociaux (ndlr : 54 %) œuvrent dans de petites structures de moins de 5 collaborateurs dans l’un des trois champs d’action suivants : le lien social, l’inclusion et la citoyenneté (29 %), l’environnement, la biodiversité et l’énergie (27 %) mais aussi l’emploi, l’éducation et la formation (24 %).
En outre, les entrepreneurs sociaux estiment majoritairement que leur moral est bon (78 %) voire très bon (28 %). Ils considèrent aussi qu’il s’est amélioré (53 %) ou qu’il va s’améliorer (72 %). En revanche, seuls 38 % des entrepreneurs interrogés se disent confiants en ce qui concerne l’avenir de la situation économique de leur entreprise…
Quoi qu’il en soit, 36 % des entrepreneurs sociaux sondés pensent que le fait d’exercer une activité utile à la société influe de manière positive sur leur moral. D’ailleurs, 90 % d’entre eux opteraient de nouveau pour l’entrepreneuriat social et solidaire si c’était à refaire.
Ce qui impacte le moral des entrepreneurs sociaux
A l’heure d’évoquer ce qui influence leur moral, les entrepreneurs sociaux citent les problématiques relatives au financement de leur activité (69 %), les performances financières de l’entreprise (58 %) et l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle (53 %).
C’est pour toutes ces raisons que l’assureur Aviva, pionnier en matière d’accompagnement de l’entrepreneuriat social et solidaire, met en avant des projets utiles et innovants à travers La Fabrique, incite le grand public à participer au financement de start-ups à fort impact social ou environnemental via la plateforme de crowdfunding 1001PACT.com et finance des entreprises sociales par l’entremise de son fonds Aviva Impact Investing France.
De son côté, La Ruche contribue depuis plusieurs années à la création d’écosystèmes propices au lancement et au développement pérenne des nombreux entrepreneurs qu’elle accueille, en permettant d’accéder à des espaces de travail et d'innovation ou d’intégrer un réseau de pairs, d'experts et de partenaires tant à l’échelle locale que nationale.
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