La mutuelle Médicis et la fin de la discrimination homme-femme

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18 oct. 2012 David Quadrado 1147 vues

A partir du 21 décembre 2012, toute différenciation tarifaire fondée sur le genre sera interdite. Première structure représentative du commerce indépendant, la mutuelle Médicis annonce que ses adhérents ne subiront ni hausse des tarifs ni baisse des prestations.

Une table de mortalité unique

Avec 167 000 adhérents commerçants, artisans et chefs d’entreprise indépendants, Médicis est la première structure représentative du commerce indépendant dans le domaine de la retraite et ses adhérents seront sans doute ravis d’apprendre qu’elle ne compte pas modifier son barème 2013 le 21 décembre prochain.

Car, à compter de cette date, toute discrimination tarifaire entre hommes et femmes fondée sur le sexe sera interdite dans l‘assurance, retraite comprise. Ce principe de non-discrimination résulte d’une décision de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE).

Pourtant, Médicis annonce que ses contrats ne connaîtront ni hausse des tarifs ni baisse des prestations grâce à sa table de mortalité unique et unisexe.

Un combat contre toute discrimination

Avec sa table de mortalité, Médicis ne fait aucune distinction fondée sur le sexe entre ses adhérents reprenant simplement la proportion d’hommes et de femmes qui ont fait le choix d’adhérer à un même contrat.

Concrètement, hommes et femmes de la même tranche d’âge versent la même cotisation, achètent le même nombre de points de retraite et percevront le moment venu une rente d’un montant identique.

Les adhérents de Médicis récoltent ainsi les fruits de son combat contre toute espèce de discrimination entre ses clients avec une gestion d’épargne retraite abritée par la très protectrice réglementation des régimes de retraite en points.