La boucherie revient en force
ARTISANS-COMMERÇANTS Votre devis gratuitLe gouvernement espère développer l’apprentissage au cours des deux prochaines années. Le secteur de la boucherie apparaît particulièrement « porteur ». Explications.
500 000 apprentis
D’ici à 2017, le gouvernement a émis le souhait de former un demi-million d’apprentis et le secteur de la boucherie pourrait aider à remplir cet objectif ambitieux.
Adrien est inscrit pour une année à l'école de la boucherie de Paris. Une reconversion pour ce jeune apprenti de 24 ans qui faisait auparavant des études de commerce.
Interrogé par France 2, il estime que la boucherie est un « métier qui revient à la mode », un « métier qui est noble ».
Plus d’élèves recrutés
A l’image d’Adrien, de nombreux apprentis de l'école de la boucherie de Paris sont en reconversion. La boucherie leur offre la sécurité de l’emploi.
D’ailleurs, l’établissement parisien a recruté 50 élèves supplémentaires par rapport à l’année dernière. Toutefois, le métier souffre toujours d’une image qui n’est pas forcément positive : le boucher qui cumule les heures de travail et passe le plus clair de son temps dans la chambre froide.
Pour les besoins de son activité, le boucher doit souscrire une assurance artisan-commerçant. Selon la teneur du contrat souscrit, cela lui permettra notamment d’être couvert dans ses rapports avec les tiers et en particulier ses clients.
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