Les entreprises face aux catastrophes naturelles

Même si - et c’est heureux - cela ne se produit pas tous les matins, le risque de catastrophe naturelle ne doit pas être négligé par les entreprises françaises. Petite piqûre de rappel.

Au terme de la loi du 25 décembre 2007 dont la teneur figure à l’article L125-1 du code des assurances, « sont considérés comme les effets des catastrophes naturelles [...] les dommages matériels directs non assurables ayant eu pour cause déterminante l'intensité anormale d'un agent naturel, lorsque les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n'ont pu empêcher leur survenance ou n'ont pu être prises ».

En pratique, cela renvoie à quelques réalités tragiques : inondations, coulées de boue, sécheresse, tremblements de terre, glissements de terrain,...

Face à de tels risques, les sociétés et commerces ont tout intérêt à être assurés.

Car, une catastrophe naturelle peut causer des dommages aux locaux ainsi qu’au matériel professionnel. Par ricochet, c’est l’activité elle-même qui peut être affectée parce qu’elle se trouve réduite ou interrompue pendant une période variable. Il en résulte logiquement des pertes financières. C’est alors que l’assurance pertes d’exploitation entrera en jeu.

Plus loin, et si l’on excepte quelques cas légalement prévus, assurer ses biens professionnels contre l’incendie, le vol ou les dégâts des eaux permettra d’être automatiquement couvert contre les dommages causés par une catastrophe naturelle.

Source : FFSA