Flotte auto : entre écoconduite et autopartage

Qu’on se le dise, les entreprises dotées d’une flotte auto ou moto ont décidé de devenir écolos. Comment ? En adoptant les principes de l’écoconduite et de l’autopartage, concepts écologiques à la mode qui amènent aussi quelques économies.

Alors que les efforts de constructeurs d’autos thermiques pour limiter la consommation en ressources énergétiques atteignent leurs limites, l’écoconduite apparaît comme une solution simple à mettre en œuvre au sein des entreprises pour un résultat immédiat.

Plus loin, il s’agit là d’un véritable levier d’économies. Pascale Cozon, présidente de Mobigreen, filiale de La Poste, confirme : « Désormais, les entreprises savent qu'elles peuvent obtenir 20 % de baisse sur leurs consommations de carburant. Aujourd'hui, elles se posent la question du maintien de ces résultats dans le temps. »

Dans tous les cas, si votre société possède une flotte, pensez à souscrire une assurance flotte automobile.

En complément de l’écoconduite, certaines sociétés se sont converties à l’autopartage qui, au-delà du simple effet de mode, constitue un mouvement de fond où la voiture apparaît comme l’une des composantes d’une stratégie d’optimisation des déplacements professionnels.

Car, les spécialistes de l’autopartage considèrent qu’une auto partagée permet de remplacer dix voitures individuelles. Et, d’un point de vue strictement économique, cela représente un coût réduit de moitié par rapport à l’utilisation d’un taxi et une économie de 30 % si l’on songe à la location de courte durée traditionnelle.

Dernier avantage de l’autopartage : il permet de créer du lien social entre l’entreprise et ses collaborateurs.

L’œil d’AssurlandPro : il ressort d’une récente enquête intitulée « Key Solutions CO2 Assessment » et menée par GE Capital Fleet Services que les entreprises du Vieux continent sont devenues plus respectueuses de l’environnement. Tout ce qu’il faut savoir sur cette étude se trouvent à l’article Des flottes d'entreprise plus écolos en Europe.

Source : LeFigaro.fr